Traite la maladie avec optimisme



Traite la maladie avec optimisme.
Pauvre ou riche,
chacun naît, vieillit, contracte des maladies et meurt.
Il n'y a pas d'exception,
C'est la vie .....







Septembre, 2012
Citation qui semble malheureusement être ignorée en ces temps…



« Prôner la non-violence, c’est dire qu’il y a d’autres moyens de résoudre les conflits que par les armes et la guerre.
La non-violence signifie aussi que la personne d’un côté de la tranchée reconnaît celle de l’autre côté comme un être humain doté des mêmes facultés.
À un certain moment, ces deux êtres doivent commencer à se comprendre. »

– Rigoberta Menchú Tum, lauréate du prix Nobel de la paix.











La vie est une …



La vie est une fleur. L’amour en est le miel. [Victor Hugo]







L’enfant marche joyeux, sans songer …



L’enfant marche joyeux, sans songer au chemin ; Il le croit infini, n’en voyant pas la fin. [Alfred de Musset]







Septembre, 2012
L’amitié n’est pas une simple formule …



« L’amitié n’est pas une simple formule, c’est le devoir d’assistance dans la peine. »

Citation d’Albert Camus ; Fragments d’un combat (1938-1940)









Que je sois un chien ou que je sois un chat, pourquoi veux-tu de moi ?
Tu sais,
je ne suis pas un jouet,
je ne suis pas un objet.
Moi aussi, j’ai des sentiments, des besoins,
des désirs, des opinions, des exigences.
Avant de m’adopter, demande-toi
pourquoi tu veux vraiment de moi.
Comme toi,
si j’ai froid, ai-je un abri ?
si j’ai faim, ai-je à manger ?
si j’ai soif, ai-je à boire?
si je suis malade, ai-je des soins?
Et en plus,
si je suis mal élevé,
sais-tu m’éduquer sans brutalité ?
Si ma chaîne est trop courte, vas-tu l’allonger ?
ou te demander si elle est nécessaire ?
Si je suis seul longtemps et souvent, à quoi je sers ?
Avant de m’adopter
demande-toi pourquoi tu veux vraiment de moi.
Je ne suis pas tout à fait à ton image.
Je ne suis pas plus bête que toi.
Tu ne m’es pas supérieur, nous sommes différents,
tellement que souvent avec toi,
le dialogue n’est pas facile.
Ce qui compte, ce n’est pas ce que tu promets
mais c’est ton coeur
et c’est ta main.
C’est notre dialogue muet.
Je fais partie du tout auquel tu appartiens.
Alors, dis-moi,
Pourquoi veux-tu de moi ?

















Le Moi véritable …



Extrait de Véronika a décidé de mourir de Paulo COELHO édition Anne Carrière

« A présent venons-en à votre maladie : chaque être humain est unique, il a ses propres qualités, ses instincts, ses formes de plaisirs, sa quête de l’aventure.
Cependant la société impose une manière d’agir collective, et les gens ne cessent de se demander pourquoi ils doivent se comporter ainsi. Ils l’acceptent, comme les dactylographes ont accepté le fait que l’AZERTY fût le meilleur clavier possible. Avez-vous jamais rencontré quelqu’un qui se soit demandé pourquoi les aiguilles d’une horloge tournent dans un sens, et non dans le sens contraire ?
- Non.
- Si quelqu’un le faisait, il s’entendrait probablement répondre : »Tu es fou ! » s’il insistait, les gens s’efforceraient de trouver une raison, mais bientôt ils changeraient de sujet, parce qu’il n’y a pas d’autres explication que celle que je vous ai donnée. Alors, je reviens à votre question. Répétez-la.
- Suis-je guérie ?
- Non. Vous êtes une personne différente qui veut ressembler aux autres. Et cela, de mon point de vue, est considéré comme une maladie grave.
- C’est grave d’être différent ?
- C’est grave de s’obliger à ressembler à tout le monde : cela provoque des névroses, des psychoses, des paranoïas. C’est grave parce que c’est forcer la nature et aller à l’encontre des lois de Dieu, qui, dans tous les bois et toutes les forêts du monde, n’a pas créé une seule feuille identique à une autre. Mais vous pensez que c’est folie d’être différente, et c’est pourquoi vous avez choisi de vivre à Villete : ici, comme tous sont différents, vous devenez semblable à tout le monde. Avez-vous compris ? » Maria acquiesça d’un hochement de tête.
» Parce qu’ils n’ont pas le courage d’être différents, les gens vont à l’encontre de la nature, et leur organisme se met à produire » le Vitriol « -ou l’Amertume, comme on appelle vulgairement ce poison !…. Comportez-vous comme des gens normaux. Courez le risque d’être différents, mais apprenez à la faire sans attirer l’attention. Et laissez se manifester votre MOI véritable. - Qu’est-ce que le MOI véritable? demanda Véronika.
- C’est ce que tu es, et non ce qu’on a fait de toi! …. »



















La jeune fille impolie…



J’ai entendu il y a peu de temps raconter cette petite histoire qui donne bien à réfléchir. C’était une jeune fille qui n’était pas correcte quand elle parlait à sa mère.
Mais cette dernière qui était très polie, gardait son sang froid.
C’était quand même difficile pour elle. Alors elle décida que chaque fois que sa fille serait grossière avec elle, elle enfoncerait un petit clou dans la porte. Et le lendemain, un clou, puis encore un. Et le temps passa. La fille se rendit compte un jour qu’il y avait beaucoup de clous sur la porte et elle commença à se rendre compte du mal qu’elle faisait. Alors elle parla avec sa mère et devint plus sage. Alors toutes deux elle enlevèrent les clous. Mais la fille dit : «Maman, il reste des traces» « Oui ma fille, dit la mère, les clous ont abîmé la porte.
La moralité est que quand nous faisons du mal aux autres, ils peuvent nous pardonner, mais il restera toujours une cicatrice dans leur coeur.
Alors faisons toujours attention à nos propos.











Les blessures de la vie…



Les blessures qu’on reçoit sont un peu comme les feuilles mortes qui restent accrochées tout l’hiver à la branche.
Il faudra bien qu’elles tombent pour laisser la place aux bourgeons.
Ce n’est pas dire qu’en se détachant ces blessures seront oubliées, mais la vie ne s’arrête pas à une saison.
Pour cicatriser, il est important de s’ouvrir comme les feuilles d’un arbre.
C’est le cycle de la vie.
Un arbre qui n’accueille pas une nouvelle floraison se déssèche et finit par mourir.
Pour les hommes, et surtout les enfants que la vie a meurtris, c’est exactement pareil.
Laisser tourbillonner le passé, c’est permettre à l’avenir de fleurir.

(Tim Guénard)









Cadeau :

Marie Laforêt



(Parlé: Marie Laforêt:}
Hier soir, dans la cuisine,
je préparais le dîner, quand mon petit garçon est entré.
Il m’a tendu un morceau de papier griffonné.
J’ai essuyé mes mains sur mon tablier,
et je l’ai lu. Et voici ce qu’il disait :

{Parlé: L’enfant:}
Pour avoir fait mon lit toute la semaine 3 francs
Pour avoir été aux commissions 1 franc
Pour avoir surveillé le bébé pendant que toi tu allais aux commissions 1 franc 25
Pour avoir descendu la corbeille à papiers 75 centimes
Pour avoir remonté la corbeille à papiers 1 franc et 10 centimes
Pour avoir arrosé les fleurs sur le balcon 25 centimes
Total 9 francs et 85 centimes.

{Parlé: Marie Laforêt:}
Je l’ai regardé, il se tortillait en mâchant son crayon
et une foule de souvenirs sont revenus à ma mémoire.
Alors j’ai repris son crayon, j’ai retourné la feuille et voilà ce que j’ai écrit :

{Chanté: Marie Laforêt:}
Pour neuf mois de patience et douze heures de souffrance
CADEAU
Pour tant de nuits de veille, surveillant ton sommeil
CADEAU
Pour les tours de manège, les jouets, le collège
CADEAU
Et quand on fait le tour, le total de mon amour,
C’est CADEAU

{Parlé: Marie Laforêt:}
Quand il a eu fini de lire, il avait un gros chagrin dans les yeux.
Il a levé la tête et a dit :

“M’Man, je t’aime très beaucoup”

Il a repris son papier, l’a retourné, et en grosses, grosses lettres,
a marqué :

“CADEAU”

{Chanté: Marie Laforêt:}

Et quand on fait le tour, le total de l’amour,

C’est CADEAU, C’est CADEAU


















LA NATURE










IL COURT LE TEMPS....









Fermer pour revenir au menu.